Jardin

Autonome et nourricier

Je cultive différentes plantes dans mon jardin de montagne. Je travaille sur deux fois 1500 m2 à un jardin nourricier, au maximum autonome et plus adapté aux aléas climatiques. Pour cela, je laisse une large place aux fruits et légumes anciens, aux plantes rustiques adaptées au climat montagnard, aux plantes sauvages comestibles, qu’elles soient déjà sur place ou accueillies de l’extérieur. Vous trouverez par exemple : l’épiaire des bois, deux variétés de consoudes, la monarde, l’épine vinette, des kiwaïs, baies de mai, baies de goji, la poire de terre si les limaces en ont laissé un peu (!), des chénopodes, de l’oca, de la rhubarbe, les cornouilles et fruits de l’amélanchier, le topinambour, les sureaux noirs et rouges, etc. Au fur et à mesure des années, je peux fournir des fruits, des légumes-feuilles, et peut-être plus tard des plants.

En harmonie

J’essaye de rester dans la recherche d’harmonie entre la spontanéité de la nature et la production alimentaire. Se frayer une place dans la nature sans trop la dominer ; essayer de « faire avec » et de s’adapter à ce qui existe plutôt que de la forcer à notre idée ; apprendre du passé en retrouvant des variétés riches et en apprenant toujours plus des plantes sauvages comestibles.

Le jardin symbole

Ce jardin passe aussi par la nécessité de prendre conscience des symboles liés à la nourriture et à l’image que l’on donne de soi à travers le jardin, il faut apprendre à se détacher de tout cela. Ce jardin apporte la satisfaction de découvrir une nature généreuse, diversifiée, des produits originaux, sains, goûteux et riches en nutriments ! Tout cela dans la simplicité et à une échelle humaine.

Visite du jardin

Le jardin se visite d’avril à octobre, en savoir plus.

Productions de végétaux

Suivant la générosité du jardin et les cueillettes sauvages, je propose à la vente des produits frais ou transformés très variés et en petite quantité (tout est fait à la main !).

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