Vous me trouverez au jardin et aux fourneaux pour confectionner de délicieux plats salés et sucrés. Le tout en bio ! Je transmets avec plaisir mes connaissances sur la cuisine bio et végétarienne et sur les plantes sauvages. Pour une cuisine originale et inventive, pour enrichir vos plats et étonner vos convives !

Stages en cuisine bio



Préparation d'un dessert

Vous débutez ? Apprenez les bases de la cuisine bio et végétarienne pour vous lancer.
Vous cuisinez déjà bio ? Enrichissez vos compétences lors d’un stage thématique.

Plus d’infos sur les stages

Plantes sauvages



préparation de plantes sauvages

Apportez goûts et nutriments à vos plats avec des plantes sauvages comestibles!
Découvrez-les lors d’une balade conviviale et gourmande.

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Produits du jardin



produit du jardin

Je cultive des plantes locales ou atypiques dans mon jardin…
Selon la générosité des saisons, je vends le surplus en produits frais, séchés ou transformés.

Un jardin autonome

Traiteur bio





Vous cherchez un traiteur bio pour un événement ? Je me déplace en Savoie pour servir des buffets, apéritifs, festivités, etc.
Ma cuisine est simple, toute bio et à forte tendance végétarienne.

Traiteur bio

Cuisine bio… On parle de quoi ?

Des produits sains

Ce sont déjà des produits plus sains. Qu’entend-on par « produits plus sains » ? Des aliments sans résidus de produits chimiques, sans OGM, des aliments moins raffinés, plus riches en nutriments et en goûts : ils amènent une autre façon de cuisiner, de penser les repas, de construire les équilibres nutritionnels. Beaucoup de gens s’orientent vers le bio (et le végétarisme) pour des questions de santé et ils ont raison : les problèmes de santé liés aux traitements chimiques des sols ne font que commencer…

Une agriculture durable et vivante

Choisir le bio, ce n’est pas seulement pour sa santé ! C’est pour moi avant tout un changement de société : c’est un choix militant pour une agriculture durable et vivante, pour un autre modèle économique de production alimentaire qui rejoint les valeurs de départ de la bio (en 1972, elles étaient de : produire plus d’énergie qu’elle n’en consomme, ne pas participer au pillage des pays pauvres, rapprocher le producteur du consommateur, garantir la qualité des produits, proposer des prix équitables, privilégier la distribution de proximité…). 

Développer et soutenir la bio, c’est bien vouloir : plus d’équité, protéger l’autonomie des peuples et leur souveraineté alimentaire, ne pas épuiser le vivant, régénérer les sols, créer de la ressource et de l’emploi, ne pas exploiter l’humain. C’est un modèle pour soi, pour la terre, une écologie cohérente pour les générations futures.

Une production de saison

Aujourd’hui, le mot « bio » peut être synonyme de mode, il peut être produit par l’agro-industrie (et va l’être de plus en plus car c’est une des issues à l’impasse de l’agriculture conventionnelle !), peut même être hors-saison et/ou induire l’exploitation des autres humains… On s’est profondément éloigné des valeurs d’origine de la bio, de son côté militant et entier pour construire un autre monde. On rajoute le mot« local » pour éviter déjà le hors-saison et l’exploitation des autres.

Une autonomie alimentaire locale

On parle de paysannerie pour induire la petite échelle et l’équité, la proximité, la saisonnalité. Cela encourage un changement de société où, grâce à une multitude de petits producteurs et au soutien des consommateurs, on aide à la réappropriation des moyens de production dans leur ensemble (production de semences, diversité des productions, adaptation aux aléas climatiques, aux environnements, partage des connaissances et des compétences, créations de réseaux d’entre-aide, d’outils partagés, etc.). On participe à la création d’îlots qui tendent à plus d’autonomies alimentaires locales et qui aident les uns les autres, à refaire la société autour d’un besoin élémentaire.

Du goût dans nos assiettes

Si cette alimentation n’était pas bonne, au goût, il faudrait le faire quand même !! Si ce n’était pas sain pour nous, mais sain seulement pour la terre, ça poserait problème… Il se trouve que ce qui est bon pour notre terre, est bon aussi pour notre corps ! Une terre bourrée de produits chimiques s’épuise, sur le long terme les productions baissent, les résidus chimiques nous rendent malades… Et ce modèle pousse les agriculteurs à se donner la mort… Alors qu’une terre riche en biodiversité donne de plus beaux légumes qui sont meilleurs au goût et meilleur pour la santé ! On a tout à y gagner !